Marseille

Les Premières Impressions

Notre premier jour à Marseille et wow juste 24 heures ont ouvert nos yeux à un monde entièrement nouveau. Vivant aux États-Unis, le pays considéré comme le grand «melting pot», on penserait qu’on serait assimilés à une communauté diversifiée. Aujourd’hui, ces attentes ont été inversées. Les gens de Marseille sont une collection de 3partout ; chacun conservant leur culture individuelle tout en combinant et en créant quelque chose de complètement nouveau. Bien que rédige il y a près de 100 ans, les images qui ont cultivé dans le roman Banjo de Claude McKay sont venus à la vie devant nos yeux avec leurs propres twists modernes.

Nous avons arrêté au Port du Quai et avons regardé la marina entière. Aujourd’hui, les bateaux sont utilisés pour le loisir au lieu de navires volumineux apportant des marins et des marchandises d’autres pays. Tout la même, Le Vieux Port apporte des gens d’où beaucoup de pays différents pour mélanger et célébrer une ville débordante de cultures et d’expériences uniques.

Assis dans l’un des nombreux cafés près des docks, nous regardions la vue de l’eau magnifique, mais le centre de notre attention était des groupes de personnes autour de nous. Maintenant, l’enivrement est définitivement plus propre et tout coûte beaucoup plus, mais il nous a rappelé de la description de McKay de “The African Café”. Pendant au café, Lincoln Agrippa Daily, ou ‘Banjo’, décrit le mélange de personnes de partout. Les «Martiniquins», les «Guadeloupains», les «Madagascans», les «Arabes», les «Blancs» et les «Sénégalais» dansent, parlent et boivent ensemble. Tous de milieux variés, mais à Marseille, ils se réunissent pour profiter d’une soirée avec la compagnie de ceux qui sont très différents d’eux-mêmes.

Il est important de mentionner la séparation simultanée des nationalités que nous avons remarqué. Ce n’était pas nécessairement une ségrégation flagrante, mais parfois, en train de marchant dans les rues, nous remarquions beaucoup de coexistence avec la froideur entre des personnes de milieux différents. McKay n’indique pas directement « Marseille est séparé », mais il sent le besoin de définir des personnes par le pays dont elles proviennent et décrit une sorte de hiérarchie sur laquelle la ville fonctionne. Il n’existe pas des actions particulières que nous pouvons décrire, il n’y a qu’un sentiment de tension qui ne peut pas être voir.

L’un des meilleurs points de ce voyage a été la promesse de la surprise des cultures diffèrent, et cela a été définitivement réalisé, mais de la meilleure façon possible. Être immergé dans une nouvelle culture est quelque chose à apprécier, mais être immergé dans plusieurs à la même fois dans un cadre si unique était tout que nous pourrions imaginer et dépassé toutes nos attentes.

-Allison Milewsky

 L’identité de la Provence:

Nous sommes allés au bar, où nous avons essaient la Pastis. Cette boisson était très populaire dans la livre Total Kheops, mais la différence est nous n’avons pas aimé la boisson. Cependant, il était une expérience ! Ici, au bar, nous avons appris environ la langue occitane et le mouvement occitan, qui a commencé dans les années 1960. Le mouvement a eu beaucoup de culture comme les danses, la nourriture, et les costumes. Depuis les années 1960, la langue occitane avait fait un come-back. Il est très important de se référer à elle comme une langue, et non comme un dialecte. Malheureusement, il y a un stéréotype qui la Provence est « le désert français » parce qu’elle n’est pas Paris. Ce n’est pas vrai !!

Un grand theme de Total Kéhops est le crime, il est partout dans la ville dans le texte. Ce theme reflété une image du Marseille comme une ville dangereux et violent. Malheureusement il y a un stereotype en France que tout les marseillais sont criminels ou dans le mafia mais évidement la plupart de la population n’associe pas avec ni le mafia ni les criminels. 

Le lendemain, nous avons visité la Ciotat, une ville anticonformiste qui ont beaucoup d’ouvriers. La ville était communiste pour un longtemps, mais maintenant elle est une maison pour la diversité. Moussu T. a montré leur ouvre d’art par des tableaux et de la musique. L’art était individualiste et unique à la région. Donc, ce pose la question : Est-ce que Marseille une ville pour les touristes ? Nous pensons que Marseille n’est pas pour des touristes parce que, comme Jean-Claude Izzo a dit « Sa beauté ne peut pas être photographiée. Il ne peut être partagé. C’est un endroit où vous devez prendre parti, être passionné pour ou contre. C’est seulement alors que vous pouvez voir ce qu’il y a à voir. Et vous vous rendez compte, trop tard, que vous êtes au milieu d’une tragédie. Une tragédie ancienne dans laquelle le héros est la mort. A Marseille, même à perdre, vous devez savoir se battre.» Marseille est comme un oxymore dans ce cas-ci.

Street featured in “Banjo” by Claude McKay

    

Emily Locke & Taylor Williams